Lorsque le TDAH est identifié à l’âge adulte, le traitement médicamenteux est proposé en première intention. Toutefois, en France, certains praticiens indiqueront d’abord diverses thérapies en fonction des degrés et des types de difficultés que la personne rencontre.
Ces médicaments sont mauvais pour la santé, ils abîment le cerveau, il y a des risques pour
le cœur, ils ont des effets indésirables
importants, etc.
Ce sont des dérivés des amphétamines, il est possible de se droguer avec et on en devient dépendant.
Les TCC et autres psychothérapies semblent plus adaptées à long terme, les médicaments feront frein à une autonomisation.
Ces médicaments changent la personnalité,
rendent dociles et la créativité risque de disparaître.
Ces médicaments réduisent les risques de traumatisme accidentel, d'exposition aux MST, de dépression, d'addiction, de dégénérescence neurologique, etc.
La formulation spécifique de ces médicaments n'entraîne ni dépendance, ni accoutumance. Ils diminuent même les addictions de 30%.
La médication favorise l'équilibre psychique et physiologique, elle facilite l'orientation de sa vie au mieux, selon ses propres besoins.
En faisant disparaître l'impulsivité et la distractibilité, ces médicaments révèlent la personnalité et ses forces.